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  • Une douzaine de ministres dans la mire de « Bien fait ici »

    Suite logique des actions prises en campagne électorale, la direction du programme « Bien fait ici » a promptement fait parvenir, le jour des assermentations ministérielles, le 26 octobre, un message de félicitations comportant une main tendue à une douzaine des nouveaux honorables.

    Bien que ce soit la teneur des lettres de leur mandat qui fera foi de l’étendue – ou de la limitation – des pouvoirs véritables dont hériteront les membres du troisième cabinet formé par Justin Trudeau, leurs titres sont assez parlants pour générer des attentes. L’on parle ici précisément des douze individus suivants, présentés dans un ordre qui nous semble le plus incident par rapport à notre raison d’être:

    • Chrystia Freeland, vice-première ministre et ministre des Finances;
    • François-Philippe Champagne, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie;
    • Dominic LeBlanc, ministre des Affaires intergouvernementales, des Infrastructures et des Collectivités;
    • Mona Fortier, présidente du Conseil du Trésor;
    • Bill Blair, président du Conseil privé de la Reine pour le Canada et ministre de la Protection civile;
    • Patty Hajdu, ministre responsable de l’Agence fédérale de développement économique pour le Nord de l’Ontario et ministre des Services aux Autochtones;
    • Pascale St-Onge, ministre responsable de l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec et ministre des Sports;
    • Gudie Hutchings, ministre du Développement économique rural;
    • Steven Guilbeault, ministre de l’Environnement et du Changement climatique;
    • Ahmed Hussen, ministre du Logement, de la Diversité et de l’Inclusion;
    • Filomena Tassi, ministre des Services publics et de l’Approvisionnement;
    • Mélanie Joly, ministre des Affaires étrangères.

    Cliquer ici pour prendre connaissance d’un exemple de lettre envoyée aux ministres.

    « Nos prochaines représentations mettront l’accent sur l’apport de l’activité manufacturière au PIB du pays et aux entrées fiscales, auquel s’ajouteront des dimensions écologiques (circuits d’approvisionnement plus courts) et sociétales (l’achat local favorise une cohésion dans les villes et régions) », indique le président-directeur général, Richard Darveau.

    La permanence se dit encouragée par la probabilité d’un accord autant intéressant pour le gouvernement que pour les parties prenantes regroupées au sein de « Bien fait ici ». Célie Cournoyer, directrice des opérations, précise:

    « Le potentiel d’accroître la notoriété de l’élément catalyseur, soit le logo officiel du programme, de sorte que le grand public et les entrepreneurs le reconnaissent et le cherchent, constitue une étape critique à ce stade du programme né il y a maintenant trois ans, le 31 octobre 2018, mais dont les premiers pas ont été ralentis par la crise sanitaire. »